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Do 07.07. – So 10.07. 13:30 | Lausanne Lausanne |

Festival La Cité Lausanne

JEUDI 7 JUILLET

On débute la soirée à La Plage en profitant du voyage proposé par Métro Kairo(s) dans la station d’Ouchy.  Face au lac, sur la scène flottante, on apprécie le Quatuor Parallèle. Et on repart pour le centre névralgique du Festival. On retrouve des vieilles connaissances le long de notre chemin qui nous mène derrière la Cathédrale et son animation. Au passage, on se repose à l’écoute d’Entre les lignes sur la place St-Maur. Notre curiosité nous pousse si on en a l’énergie jusqu’à La Riponne pour Water on Mars et plein de leur énergie communicative on se dépêche pour assister à la pièce du Collectif comédie drôle. La fin de soirée s’ouvre ensuite en grand sur trois choix différents : Mdou Moctar et son blues du désert sur La Riponne, la chorégraphie de Volcano à la Sallaz ou l’électro folk de Juana Molina sur le lac.

VENDREDI 8 JUILLET

On commence cette journée de bonne heure avec Sanctum Garageum (réservé en avance) qui part de l’esplanade de la Cathédrale. On rejoint ensuite les quais pour l’Ensemble vocal de poche et l’Usage du Monde que l’on aura entrecoupé par une collation exotique et un cocktail. Le moment vient de se diriger vers la cathédrale qui accueille le mystérieux projet Fantôme et le récital d’orgue de J.C. Geiser. La soirée risque se poursuivre avec les compagnons aux bars historiques qui ont pris leur quartier à l’arrière de la Cathédrale.

SAMEDI 9 JUILLET

En famille on accompagne les petit-enfants à l’Atelier Rock et animaux sur La Clairière à la Sallaz. On reste dans le quartier en attendant Léger démélé pendant que notre moitié s’échappe pour voir le Trio Liberamente sur la scène d’Ouchy. On se retrouve ensuite pour manger sur la place de la Sallaz avant de rejoindre le studio 15 de la RTs pour Lascaux qui a attisé notre curiosité, puis c’est le saut dans l’inconnu avec Flavien Berger pour patienter jusqu’aux chorégraphies Lettres à Zerty et Rotha et Gassama. 

DIMANCHE 10 JUILLET

On s’apprête la moindre pour aller à l’Opéra assister à L’opérette de La Belle de Cadix, puis on rejoint la fraîcheur lacustre et la musique soufie de Broukar. Reposé on se dirige vers la Riponne pour la pièce de Steve Reich qui pourrait être le point final de notre festival cette année, si la rumba congolaise des Mangelepa ne nous attirerait pas malgré tout vers Ouchy…

[PRESSETEXT]

Do 07.07. 2016